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Etes-vous ponctuel ou retardataire chronique ?

A partir de plusieurs articles parus dernièrement:

Plusieurs articles paraissent actuellement dans les journaux, sur ce thème. Comme ils sont sur "le temps humain", nous nous sentons concernés et les avons lus et commentés pour vous.

Aux USA, le Wall Street Journal, et le Huftingtonpost, traitent tous deux de ce sujet.  Mais aussi, en Angleterre, sur le dailymail ,  ou encore en Norvège sur forskning.no un e-zine dédié aux actualités sur la recherche.

Certes, il est intéressant que les sciences cognitives et sociales se penchent sur la pérennité de l'exactitude et de son contraire l'irrégularité temporelle, (Intéressant, il n'existe pas vraiment de nom en français pour nommer l'acte d'être en retard.) mais ces articles, en l'état, posent plus de questions qu'ils n'apportent de réponses.
Si la notion de gestion du temps y est présentée, l'apport que pourrait apporter la chronobiologie est omis;  Or nous savons que la désynchronisation de nos rythmes biologiques perturbent les humains, tant sur le plan de leur organisme, que sur celui de leur appareil psychique, et qu'ainsi la perception du temps qui passe peut être encore plus fluctuante d'une personne à l'autre:
Au Canada, le blog "le cerveau" parle des différentes vitesses de notre perception du temps.

Voir notre collection de liens sur le sujet :
Actualité articles Temps et cerveau | Pearltrees

Que disent les derniers articles actuels :

selon notre personnalité, nous sommes de Type A c'est à dire ponctuels, nous mesurons bien le temps qu'il nous ait nécessaire pour accomplir une tâche, nous évaluons une minute à 58 secondes (ce qui est proche) et nous sommes régulièrement à l'heure aux réunions car tel est notre objectif.
Au contraire nous sommes de Type B c'est à dire relaxes, détendus, multitâches, nous évaluons une minute à 77 secondes (17 secondes de plus) et nous avons trop tendance à être souvent si ce n'est toujours en retard car nous mesurons mal le temps qui passe.

Ne devrions nous pas prendre ces lectures comme un début de réflexion et non comme une réponse ?

Ces articles pourraient-ils confirmer les travaux d'Antoine de la Garanderie regroupés en une pratique pédagogique d'aide "la gestion mentale" qui, d'un point de vue phénoménologique, ont montré que les humains ne géraient pas le temps de la même façon s'ils étaient plus structurés de type "temporels" ou "spatiaux" ? le projet de sens de la gestion mentale étant que l'on développe tous.tes nos capacités spatio-temporelles.
Lequel des Type A ou Type B serait-il dit  "temporel"? Et vice et versa pour les "spatiaux"  ??   Voilà qui complexifie les interprétations possibles.

Les humains ne sont-ils pas beaucoup plus riches, complexes que simplement de Type A ou de Type B ?  D'ailleurs, dans un des articles,  le professeur en psychologie Lawrence White, atténue la portée de ces écrits en rappelant que les parents de jeunes enfants sont souvent plus en retard, le matin, que les autres. (Est-ce que cela vous étonne beaucoup ??)

Le professeur Tim Roenneberg lui, médecin, chronobiologue et professeur en Allemagne  s'insurge sur la dictature des chronotypes extrêmes dits "alouette" qui se lèvent tôt vis à vis d'autres chronotypes extrêmes dits "hiboux" qui travaillent tard et se lèvent tard (1/6° de la population) peut-on lire dans le Stuttgarter Zeitung.   En moyenne, actuellement, les deux tiers d'entre nous accumulerions  un "social jet-lag" car nous ne dormirions pas suffisamment.

Alors qui a raison ?

Pour avancer, la science n'est toujours "qu'ignorance féconde" nous rappelle J-C. Ameisen. (Sur les épaules de Darwin). La science, dans ces cas-là, aime dire: "C'est une question ouverte" !

Que pourrait apporter la musicothérapie vibratoire à ces recherches ?
S'assurer que les tests soient faits avec des personnes synchronisées pour ne pas cumuler les causes diverses et variées d'explications possibles des retards.

Voulez-vous savoir si vous êtes de type Alouette ou Chouette ? Notre site donne le lien direct avec cette étude européenne, dans la rubrique Ressources.

Voudriez-vous savoir si vous êtes synchronisés ? pour prendre rendez-vous appeler notre secrétariat.

 

Sÿndaô musicothérapie vibratoire

La Synchronisation

Un sujet en bonne santé voit une synchronisation de ses rythmes biologiques au temps local.

La coordination ou mise en phase des rythmes internes de l'organisme  et donc des différentes horloges biologiques s'appelle la synchronisation. Cette synchronisation globale que les praticiens Sÿndaô® appellent, alors, la synchronisation somato-psychique se fait en deux temps : Par la mise en phase de l'horloge centrale qui donne le tempo tel un métronome, puis par la mise en phase de toutes les petites horloges internes.

Dans notre monde en perpétuel changement et dont le tempo est de plus en plus rapide, notre système d'auto-organisation semble avoir des difficultés à se synchroniser.
De plus, cet aspect temporel de l'humain a été longtemps méconnu voire nié - la chronobiologie est une science assez récente (120 ans environ) - en découle un non apprentissage du respect de nos propres besoins et une désynchronisation très fréquente.
Or toute désynchronisation ou dérégulation des rythmes biologiques entraine des dysfonctionnements, des troubles métaboliques.

Chez l'homme, toute perturbation de la rythmicité circadienne (désynchronisation) s'accompagne d'un ensemble de symptômes tels que troubles du sommeil, de l'humeur, fatigue, somnolence diurne et troubles de l'appétit. Les facteurs de désynchronisation peuvent être externes (par exemple, décalage horaire du fait d'un voyage trans-atlantique, travail posté) ou internes (vieillissement, maladie cancéreuse). Toute substance ayant un effet sur le système nerveux central est susceptible d'avoir un effet sur l'horloge interne cérébrale.

Pour approfondir les conséquences de cette désynchronisation, vous pouvez lire l'article de réflexion pour un sommeil réparateur.

La méthode Sÿndaô® a pour projet de synchroniser la personne dans ses dimensions somatique et psychique grâce à des modelages vibratoires accompagnant la chronophysiologie.

Pour un sommeil récupérateur

A cette question de fond "Respecter nos rythmes biologiques pour retrouver un sommeil récupérateur",  un praticien Sÿndaô® pose ci-dessous la base d'une réflexion, qui sera suivie d'un autre article plus pratique.

Etes-vous prêts à vous respecter pour mieux dormir et mieux vivre ?

Dormir : un besoin physiologique essentiel souvent perturbé par nos modes de vie

Les humains, comme tout être vivant sur terre, résultent d'une longue évolution. Notre organisme s'est adapté au rythme du jour et de la nuit pour coordonner ses grandes fonctions avec les différents moments de la journée.

L’homme est ainsi programmé - par ses horloges internes - pour récupérer en phase nocturne et en milieu d’après-midi (14-15h). Ce besoin est essentiel vers 1-4 h du matin, le corps fonctionnant au ralenti sur cette période critique (voir le schéma ci-dessus).

Nos modes de vie, profondément impactés par la lumière artificielle, puis la télévision, Internet, ses jeux, et le développement plus global des télécommunications, sont progressivement devenus déconnectés de notre environnement, souvent irréguliers et/ou inadaptés à nos besoins physiologiques, avec des impacts très fort sur le sommeil et la qualité de la récupération.

 

Selon l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance, au moins un tiers de la population française est aujourd’hui concerné par des troubles du sommeil.

Les conséquences du manque de sommeil sont à la fois :

  • physiques : Prise de poids, troubles digestifs, risques cardiovasculaires, vieillissement prématuré ;
  • Cognitives : baisse de la vigilance et de l’attention;
  • psychiques augmentation de la sensibilité au stress, tendance à la dépression, etc.

Reconnaître et accepter que notre façon de vivre ne convient pas à nos besoins physiologiques est une première étape essentielle pour retrouver un sommeil récupérateur.

Dormir : un besoin rythmé par la lumière, nos physiologies et nos habitudes sociales

Hormis certaines périodes particulières comme l’arrivée d’un nouveau-né, le fait de respecter un rythme naturel adapté à nos besoins constitue une base qui évite l’essentiel des troubles du sommeil.

Pour s’organiser :

1/ établir honnêtement ses besoins de sommeil

Connaître la réalité de ses besoins permet d’éviter d’accumuler une dette de sommeil et ses effets associés. Bien souvent, nous ne dormons pas assez et n’en avons pas conscience, ceci d’autant plus qu’à l’entrée de la vie active, nous modifions durablement nos rythmes de coucher et de réveil. En 50 ans, il a été observé par l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance, une réduction du temps de sommeil d’environ 1h30 sur 24h.

2/ prendre en compte au mieux les facteurs qui stabilisent la durée et la qualité de notre sommeil

Notre sommeil est cadencé par des facteurs naturels, tels que la lumière, la température, ou sociaux : heure de repas, heure du coucher/réveil, horaires de travail, etc., informations qui permettent au cerveau de préparer notre organisme à sa phase de récupération.

Premiers conseils pratiques pour retrouver un sommeil de qualité

La musicothérapie vibratoire permet de relancer la synchronisation de nos horloges internes, ce qui relance la capacité de notre organisme à retrouver naturellement le sommeil. Par son effet calmant, elle redonne par ailleurs une meilleure place au système parasympathique.

Après une séance, le repos préférable ?

Après une séance, il nous est très souvent demandé  :

Est-il préférable que je me repose ou puis-je repartir travailler ?
Après une séance, il y a un temps d'ouverture à vous-même et de sensibilité corporelle; pour vous respecter, nous vous demandons de ne pas faire de travaux de force, de travaux générateurs de vibrations mécaniques, telles que celles d'une tondeuse ou d'une perceuse, de ne rien porter de lourd, de ne pas prendre de bain de mer ou dans un jacuzzi (oscillations aqueuses), de ne pas aller dans des lieux trop bruyants ou à un concert.
L'idéal est effectivement de vivre à un rythme calme,"rosiner" dit-on en Gallo, voire de vous reposer pour vous laisser le temps d'accueillir et d'intégrer ce qui vient de se passer, prendre ainsi les informations des modelages vibratoires. 
Prolongez ce temps pour vous, offrez-vous du temps pour ressentir. Ne reprenez pas un rythme habituel fait de stress et de rapidité afin d’accompagner vos sensations d’une détente profonde.
Woman at home
Oui, mais si je ne peux pas faire autrement que de repartir travailler ?
Alors, organisez-vous à l'avance pour que cette reprise se fasse doucement, sans réunion si possible. Profitez d'être sur votre lieu de travail pour vous observer, prendre du recul avec vos processus, vous questionner - comment fais-je habituellement pour "repartir" dans un rythme stressant ? ou, quelle est la cause de mon stress ?
Et d'ailleurs, vous - là-maintenant - que sentez-vous de juste et bon pour vous ??

Voici une réponse qu'aurait pu faire un praticien Sÿndaô®.

Un effet, en combien de temps ?

Il nous est souvent demandé, "en combien de temps puis-je espérer un effet ?"
A cette question, voici notre première réponse :

Au début d'une séance Sÿndaô®, il est important de prendre en compte votre demande et les indices de déséquilibres, puis nous mettons en œuvre tous les moyens que nous connaissons pour vous accompagner à résoudre vos difficultés.
Néanmoins nous sommes des êtres vivants complexes.
Pour certains peut-être trouvera-t-on, tout de suite, la solution aux symptômes inventoriés, pour d'autres nous résolvons ensemble, par la synchronisation, certaines difficultés, mais il est possible que nous découvrions sur notre route, pour obtenir une mise en phase de votre chronophysiologie, qu'elles masquaient d'autres désordres et ne faisaient que signes. C'est un pas vers la découverte de soi.

Pour en savoir plus, n'hésitez pas à lire les pages du site en cliquant ici puis à nous contacter, s'il vous reste des questions, nous nous efforcerons d'y répondre sur ce blog.

Combien de séances faut-il ?

Lorsque nous parlons de Modelages Vibratoires selon la méthode Sÿndaô® de Musicothérapie vibratoire, la question qui se pose fréquemment  est "comment se déroule une séance ?" cette question a fait l'objet d'une page de ce site, que vous pouvez lire en cliquant ici. Nous avons également parlé de la durée des séances sur : cet article de blog. Naturellement chacun voudrait savoir combien de séances sont nécessaires pour bénéficier des effets de cette pratique.

La question a été posée à Hélène d'Hennezel, qui nous livre ici, sa réponse.

C'est très différent d'une personne à l'autre :

Il y a des personnes qui en ont fait un art de vivre, qui viennent deux à quatre fois par an, notamment aux changements de saison.

On ne peut pas comparer quelqu'un qui vient pour une demande très précise et limitée – telle qu'une gestion du stress par un étudiant avant ses examens, une jeune fille qui a des menstrues irrégulières et douloureuses, une séance de confort – de quelqu'un qui demande un accompagnement pour retrouver une qualité de vie – tel que la régulation du jet-lag chez des personnes qui voyagent à plus de 4h de vol, une mauvaise cicatrisation, une dépression post-partum, un divorce, un burn-out, des maladies longues comme un cancer ou une maladie de parkinson.

Pour les très jeunes enfants, si nous voyons leurs parents, une seule séance peut être suffisante puisque la famille est comme un organisme vivant, un système auto-régulé et que les parents sont les synchronisateurs de leurs enfants.

Pour en savoir plus, n'hésitez pas à nous contacter.

Pour prendre rendez-vous, contactez notre secrétariat : 09 73 01 75 32

Quelle durée, la séance ?

Pourquoi les séances de musicothérapie vibratoire durent-elle 1 heure, 1 heure 30 ?

Il faut distinguer la première séance des suivantes : cette première séance débute par un temps de prise de contact et d'interrogation (anamnèse). Il est important que la personne puisse prendre un moment pour répondre aux questions et dégager une demande.
Dans le temps des autres qui suivent :

  • Globalement, nous pourrions distinguer celles pour les enfants jusqu'à 10 ans et celles pour les adolescents et les adultes. En effet, pour des enfants de moins de 10 ans, elles peuvent ne durer que trois quarts d'heure. Par simplification, nous notons toujours le même espace-temps pour chacun.
  • Pour les adolescents et les adultes, le temps de prise de contact est remplacé, par la suite, par un temps de retour d'expérience, où la personne va exprimer ce qui a changé ou pas pour elle, puis vient le temps de la pratique Sÿndaô via notamment les diapasons, un temps de globalisation sous la résonance d'un instrument de musique, et enfin, un temps de centrage. En fin de séance, pour ceux.celles qui le veulent, nous reprenons un autre rendez-vous.

Les transitoires

Sachant que les diapasons ont besoin de temps pour se développer, se propager et s'assécher, il est très difficile de penser qu'une séance puisse se faire en moins d'une heure.

Prendre rendez-vous pour une séance Sÿndaô®

 

détail mailloches Syndao

Est-ce définitif ?

Un traitement est-il définitif ?

C'est une question récurrente qui nous est posée : La synchronisation Sÿndaô® par cette pratique non médicamenteuse est-elle définitive ? En voici une réponse faite par Hélène d'Hennezel.

La vie est mouvement, elle est échelonnée d'évènements, elle se termine par la mort …comment pourrait-elle être définitive ? la santé est-elle définitive ? le bonheur est-il définitif ?

Parler de stabilité c'est avoir une vision fixe, homéostatique, spatiale et intemporelle de l'humain. Dés que l'on intègre la notion de temps, on accepte la notion d'oscillations, de rythmes, d'instabilité.

La synchronisation des rythmes biologiques peut être récupérée par la musicothérapie vibratoire chez quelqu'un qui a été désynchronisé par un événement, un état particulier et qui donc retrouve un état d'origine synchronisé qu'il connaissait bien avant cet évènement.

La synchronisation des rythmes biologiques est plus difficilement obtenue et maintenue pour ceux et celles qui ne l'ont jamais été. Néanmoins cela s'acquiert. Nous sommes alors dans un accompagnement sur un chemin de vie.

Sÿndaô

La chronobiologie

Le but de la chronobiologie est d'étudier la structure temporelle de la biologie, de la physiologie et de la psychologie de l'humain, vu jusqu'ici seulement comme une structure purement spatiale.

"Toutes les formes de vie, sur terre, sont cadencées par des mécanismes de mesure du temps, ce qui leur permet de s’adapter aux transformations de l’environnement pour en tirer le meilleur parti."

Nous avons des rythmes internes ; les rythmes respiratoires, cardiaques, digestifs, rénaux, reproducteurs, cognitifs etc. Tous ces rythmes demandent un réglage intérieur. Ils dépendent aussi des métabolismes d'échanges avec l'extérieur, tel que l'ingestion alimentaire, et la lumière (Exposition à la lumière comme pour la photosynthèse).
L'humain qui vit sur terre a toujours été attiré par les astres; les chinois dans leur vision systémique de l'univers ont associé ceux-ci dont le principal le soleil ( il est la source des cycles d’alternance jour et nuit, veille – sommeil, et de celui des saisons ) avec les cycles humains.
Nous savons aujourd'hui qu'il existe dans notre cerveau des instances spécialisées dans la gestion des rythmes fonctionnels, qui ajustent notre temps intérieur avec son environnement naturel et qui nous permettent de nous adapter.

Depuis l'après-guerre, une nouvelle discipline scientifique est apparue : la chronobiologie. La compréhension du fonctionnement des horloges biologiques a permis de découvrir que la coordination globale chronobiologique se fait par l'horloge centrale, située dans le cerveau, au niveau des noyaux supra-chiasmatiques (20 000 neurones, chacun pas plus grand que la pointe d'un crayon) de l'hypothalamus.

Ils sont essentiellement sensibles aux variations de lumière extérieure, Les horloges internes, périphériques sont sensibles à la nourriture et au métabolisme local. Elles sont, aussi régulées par l'horloge centrale.

la méthode Sÿndaô® synchronise les horloges biologiques.

Diapasons et méridiens

Est-ce vous qui avez associé diapasons et points d'acupuncture ?

Historique

A ma connaissance, le premier livre, paru en 1966, qui associe la médecine traditionnelle chinoise et les diapasons est celui du Dr Lamy qui a conceptualisé "la phonophorèse". Ce dernier a lié systématiquement un diapason d'une fréquence spécifique avec un point d'acupuncture particulier. Sachant que sont répertoriés environ 650 points, sa méthode était complexe. Dans les années 1985, Fabien Maman l'a simplifiée et limitée en associant une fréquence sonore par catégorie de points d'acupuncture "les points shu antiques", couplés aux cinq éléments, qui se situent en dessous du genou pour les membres inférieurs et en dessous du coude pour les membres supérieurs. Quelques années plus tard, il a ajouté les points du "méridien gouverneur" le long de la colonne vertébrale. Nous pouvions utiliser, ensemble, deux diapasons différemment étalonnés entre 240Hz et 440 Hz.

Apports

Malgré tout, cela faisait utiliser plusieurs diapasons au cours d'une même séance. Or la pensée chinoise véhicule les notions d'unicité et de singularité. Après plusieurs années de pratique clinique et de recherche, j'utilise dorénavant un diapason et un seul pour la même personne au cours d'une même séance. Cette notion de "grande unicité" m'a amenée à devenir moi-même en quelque sorte "uniciste".

De plus, au cours  des recherches que j'ai mené auprès de physiciens spécialistes des fluides, j'ai fait faire des diapasons de plus en plus graves. Aujourd'hui nous utilisons des diapasons étalonnés entre 38 Hz et  60 Hz pour les adultes et entre 60 Hz et 120 Hz pour les enfants de moins de 8 ans.

consultation Sÿndao Musicothérapie Vibratoire

« Comment ça marche » ?

A quoi reconnaît-on que "ça marche" ?

Comment reconnaître qu'une thérapie aussi subtile que la musicothérapie vibratoire a un effet sur votre confort, votre mieux être, votre bien être au quotidien ?

Voici une question que l'on se pose fréquemment, et nous avons ici recueilli les propos des praticiens Sÿndaô® et les réponses formulées par leurs patients.  Plusieurs tendances :

Le ressenti

Il y a ceux ou celles qui ressentent à l'intérieur d'eux des différences, que celles-ci soient d'ordre physiologique ou psychique. Ces nouvelles sensations peuvent aller de la détente à une sensation de calme, de sérénité, de stabilité intérieure. D'autres vont parler de diminution de leurs troubles musculo-squelettiques, d'une meilleure sensation de leur organisme, d'une meilleure concentration.

Indices d'observation :           

Avec soi-même

  • "Je me sens si vivant.e,
  • Je me sens plus en forme,
  • J'ai retrouvé  l'énergie d'avant mon opération,
  • Je me sens comme rassemblée,
  • Je ne me jette plus sur la nourriture,
  • J'ai des menstrues régulières,
  • Merci, je suis enceinte,
  • Je dors, profondément, comme un bébé,
  • Je me sens plus légèr.e, et pourtant je me sens plus ancré.e,
  • Je ne tombe plus,
  • Je ne suis plus malade dans le train,
  • Je ne perds plus mes cheveux,
  • Je n'ai plus mal."

Avec le monde extérieur

Il y a ceux ou celles qui se rendent compte qu'ils réagissent au monde extérieur autrement.

C'est dans leur relation au monde externe qu'ils peuvent constater leur mieux-être. Ces personnes vont plutôt parler de meilleure récupération face au stress, de plus d'aplomb et d'affirmation de soi, de réactivité ou au contraire de prise de recul avec plus d'objectivité, d'une meilleure pertinence et même d'efficacité.

Indices d'observation :

  • "Je ne gueule plus,
  • En réunion on m'écoute,
  • Je me sens plus les pieds sur terre et je suis plus attentif à ce qui m'entoure,
  • Je ne m'énerve plus quand je fais la queue dans un magasin,
  • J'ai pris du recul face à ma charge de travail et je gère mieux mon stress,
  • Je cerne plus les priorités et je m'organise mieux,
  • La maitresse est contente, mon fils est plus calme."

A travers les sens

Il y a ceux ou celles dont les sens sont optimisés.

Indices d'observation :

  • "Je vois mieux,
  • Je vois les couleurs plus nettes,
  • Je distingue les couleurs,
  • Je perçois la musique différemment,
  • Lorsque je travaille mon instrument, je perçois ses effets en moi,
  • Je gère mieux ma faim."

Et vous ? comment vous sentirez-vous après vos séances de musicothérapie vibratoire ?

Prenez contact avec nos Centres de Recherches Sons et Couleurs pour un rendez-vous.

cordes rebec Syndao

Modelages vibratoires

Les Modelages Vibratoires Sÿndaô® accompagnent et soutiennent la chronophysiologie. Ils ont pour but de relancer le mouvement, l'oscillation, de mettre en phase les différents rythmes biologiques de nos organes.
En effet, les vibrations solidiennes des diapasons vont par compression de l'espace dans lequel elles se propagent permettre de relancer par stimulation, le système d'auto-régulation de notre corps.
Après des recherches avec des spécialistes du son, Les Modelages Vibratoires sont produits par des diapasons à fréquences étalonnées entre 30 et 60 Hertz pour les adolescents et les adultes. entre 65 Hz et 120 Hz pour les jeunes enfants.

La Pallesthésie

Un petit récit, ici,  vaut mieux qu'une longue explication théorique.

Lors d'une première séance, je pose un diapason sur le gros orteil d'un garçon de huit à 10 ans.
– Vous faites quoi ?
– Comme je vous l'ai montré, je pose un diapason sur votre gros orteil.
– Oui, mais vous ne m'aviez pas dit qu'il entrerait dans ma jambe.
– Ce n'est pas le diapason qui pénètre dans la jambe, c'est la vibration du son qui se propage le long des os, des muscles, et que vous ressentez par les nerfs. [Ressentir cela s'appelle la pallesthésie.]
– C'est bizarre… Cela fait Tut…Tut…Tut… Et cela monte jusque dans la cuisse (Puis après un petit temps de silence)
Ha! C'est un peu comme le thé noir de maman qui se diffuse dans l'eau chaude, cela va partout.

La séance Sÿndaô® a pu continuer sans autre parole.

Concept de vibration

Baignant dans un bain sonore, nous sommes perméables à la vibration qu' elle soit sonore ou solidienne.
Lorsque la déformation est une compression d'un fluide (air, eau) on parle de vibration sonore ou d'onde acoustique. Lorsque la déformation est une compression d'un solide, on parle de vibration solidienne.
A la source, le milieu est déformé (par un choc, une compression, etc.) et, en raison de son élasticité, la déformation gagne les molécules voisines qui, dérangées de leur position d'équilibre, agissent à leur tour de proche en proche. Le phénomène se produit sans transport de matière.
Le mot vibration peut donc désigner soit une période complète du phénomène (oscillation) soit le mouvement oscillatoire envisagé globalement (système qui entre en vibration).